Le Sénateur Gaston Flosse participait, le jeudi 25 octobre 2007 à la commémoration des vingt ans de l'Université de la Polynésie Française. A cette occasion, il a été signé, le mercredi 24 octobre 2007, des conventions ou des prolongations de conventions de partenariat avec des universités du Pacifique, d'Europe et des Etats-Unis, ceci afin de renforcer la qualité et les possibilités de développement de certaines filières d'enseignement. Cette démarche vise à ancrer l'Université de la Polynésie française dans une dynamique internationale. Outre des personnalités de l'enseignement et de la recherche étaient aussi conviés, des personnalités européennes et du grand Pacifique.
Des personnalités politiques comme l'ancien Président de la République, Jacques Chirac, et le Sénateur Gaston Flosse ont largement œuvré pour la concrétisation du projet d'université en Polynésie. En effet, le Sénateur Gaston Flosse alors Président de la Polynésie française avait su convaincre l'Etat de développer une filière universitaire originale de langues et civilisations polynésiennes qui consacrent la reconnaissance de la place du reo maohi et garantit la formation des futurs enseignants et spécialistes du domaine, à l'égal des autres disciplines universitaires. Le gouvernement de Gaston Flosse dont Louise Peltzer, était la ministre de la Culture, était également intervenu auprès des autorités de l'Etat pour que se mette en place en 2003 la première année universitaire des études médicales (PCEM1). La création des bourses majorées est venue complétée la palette des bourses universitaires existantes, afin d'inciter les jeunes étudiants à choisir des métiers et des spécialisations dans lesquels nous nous trouvons en déficit.
Iaorana
Voila j’ai été attentive aux revendications des « étudiants » c’est bien qu’un petit groupe de jeunes s’investissent dans une action. Si vous me le permettais je vais apporter mon analyse. Je ne sais pas se qui s’est dit entre C Estrosi et ses étudiants mais j’ai l’impression que le ministre croit que nous étudiants sommes des miséreux oubliés de tous. Et je ne suis pas d’accord avec l’image que l’on nous colle depuis. Concernant les logements étudiants, le problème n’est pas nouveau et notre génération a de la chance de profiter des infrastructures qui ont été mise à notre disposition. L’ouverture d’un master II en droit est une erreur, d’abord combien arrivent jusqu’ ‘a ce niveau ? 12, 10 ? En plus c’est enlever la possibilité pour ceux qui veulent partir étudier en Métropole de bénéficier des aides de l’Etat pour le trajet. Il faut voyager et découvrir la vie hors fenua, ça nous ouvre l’esprit. Il y a des actions à réaliser c’est sur mais je vois qu’elle est le rapport entre l’Université et le dépôt d’un amendement pour la loi organique d’Estrosi. Ne serait il pas ici plutôt le rôle d’un mouvement de jeunes politiques à agir ? A moins que ce ne soit le cas.
Merci pour notre Université, merci pour nos bourses, merci pour les logements, merci la première année de médecine, merci pour tous Monsieur Flosse.
Réponse au commentaire :
Je suis heureux de constater que certains étudiants, comme toi, sont conscients de ce qui a été réalisé pour eux et de la chance que représente cette université. Merci de ne pas avoir oublié ce que nous avons fait pour nos jeunes.
Rédigé par : pauline | 08 novembre 2007 à 01:45