Les Jeunes Actifs sous la houlette de Léonard Puputauki M. Manuel Sanquer, M. Hotuarii Chung Tien, Melle Atea Fatupua un dîner débat a été organisé mercredi 04 avril 2007 dans la salle Liu Fong à Papeete. Cet évènement était l’occasion pour les jeunes de tous les horizons d’apporter leur soutien à Nicolas Sarkozy.
Le sénateur Gaston Flosse, a répondu à l'invitation des J.A.PF (Jeunes Actifs de Polynésie française) ainsi que le président délégué Edouard Fritch, le secrétaire général Bruno Sandras, le ministre de l’Education Tearii Alpha, le ministre de l’Economie Teva Rohfritsch et les représentantes à l’Assemblée de Polynésie française Pascale Haiti et Lana Tenuanui.
Au cours de son intervention, le président du Tahoeraa Huiraatira, a tenu à expliquer les enjeux essentiels des échéances électorales de 2007. Il a invité les jeunes Polynésiens à s’intéresser à la politique et à lutter contre l’indépendance en votant pour Nicolas Sarkozy car il est un partisan convaincu du maintien de la Polynésie française autonome au sein de la République.
De plus, il est également le plus qualifié pour assurer le développement économique de la France, sa sécurité intérieure et extérieure ".
De nombreuses questions ont été posées par les étudiants de l’université de la Polynésie française, de l’ISEPP (Institut Supérieur de l'Enseignement Prive de Polynésie), de l’école normale ainsi que par les enseignants auxquels il fut répondu sans détour.
Lire l'intégralité de l'allocution prononcée par le président sénateur Gaston Flosse.
Discours de Monsieur Gaston FLOSSE,
Président du Tahoeraa Huiraatira,
Sénateur de la Polynésie française
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Dîner-débat des Jeunes actifs
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Mercredi 4 avril 2007 à 19h00 – Restaurant Liou Fong
Chers amis,
Merci d’avoir accepté de participer à ce dîner-débat. Je remercie plus particulièrement ceux qui ont pris l’initiative de l’organiser, M. Léonard Puputauki Jr, M. Manuel Sanquer, M. Hotuarii Chung Tien, Melle Atea Fatupua et toute l’équipe du J.A.PF (Jeunes Actifs de Polynésie française), et je vous demande de les applaudir avec moi.
Votre présence ce soir montre bien que les jeunes Polynésiens s’intéressent à la politique. C’est encourageant car la politique n’est pas une affaire de spécialistes, la politique ne concerne pas que les élus. La politique détermine le présent et l’avenir de notre pays et de tous les jeunes Polynésiens.
Vous qui avez choisi de faire des études, vous êtes destinés à devenir les élites et les cadres de la Polynésie française pendant les prochaines décennies. Il est légitime et même nécessaire que vous ayez une réflexion politique personnelle et une vision claire de l’avenir que vous souhaitez pour vous, pour votre famille et pour notre pays.
Le rôle des hommes politiques et des partis politiques est précisément de proposer à leurs concitoyens leur conception de l’avenir et les moyens qu’ils comptent mettre en œuvre pour atteindre leurs objectifs.
Les media présentent malheureusement trop souvent la politique comme une succession incohérente de sombres manoeuvres motivées par des rivalités et des ambitions personnelles. C’est voir vraiment les choses par le petit bout de la lorgnette. Les stratégies personnelles existent, les politiques sont des hommes et des femmes comme les autres. Les tactiques politiciennes au jour le jour font partie de la vie politique. Mais si vous voulez comprendre vraiment les enjeux essentiels pour l’avenir, il faut d’abord vous interroger sur les objectifs à long terme des hommes politiques et de leurs partis. Ce sont ces choix qui sont décisifs pour votre avenir, beaucoup plus que les rivalités personnelles, les petites phrases et les joutes oratoires à l’Assemblée.
Pour moi, après 45 ans de responsabilités politiques, je conserve la même vision de l’avenir et j’ai le même enthousiasme et la même ambition de faire partager cette vision par mes concitoyens, parce que je suis profondément convaincu que c’est l’intérêt de notre pays, l’intérêt de tous les Polynésiens et de leurs enfants. Mon credo politique peut se résumer en 3 mots : autonomie, développement, solidarité.
L’Autonomie, c’est le choix décisif, il engage l’existence et l’identité de la Polynésie française. Nous avons été intégrés à la nation française par des hasards de l’Histoire que nous n’avons pas choisis. Certains, c’est le cas du Tavini, pensent que nous avons ainsi subi un sort injuste et que nous devons nous séparer de la France pour retrouver l’identité de nos origines maohi. Je respecte cette opinion lorsqu’elle est exprimée honnêtement, ce qui n’a pas été le cas lors des élections de 2004 et 2005 où M. Temaru a dissimulé ses intentions. Il a menti en disant que l’indépendance n’était pas l’enjeu des élections alors que c’est son seul objectif politique.
Je respecte l’opinion de ceux qui souhaitent l’indépendance, mais je la combats fermement. Nous sommes français depuis le XIX° siècle, beaucoup d’entre nous ont autant d’ancêtres européens ou chinois que d’ancêtres maohi. Notre véritable identité aujourd’hui est multiculturelle. Nous sommes peut-être devenus français par hasard, mais nous le sommes restés par choix depuis 1958. Un retour au passé me paraît complètement utopique.
Regardez l’évolution du monde moderne, regardez les efforts de tous les peuples du monde pour se rapprocher, pour s’unir, afin d’être plus forts et plus prospères. Regardez la construction européenne qui a rassemblé en cinquante ans 25 pays qui s’étaient fait la guerre pendant des siècles. Nous avons la chance d’appartenir à une nation démocratique rattachée à un ensemble de 25 nations qui constitue la seconde puissance économique et la première puissance commerciale du monde. Je n’arrive pas à comprendre comment on peut nous proposer sérieusement de nous priver et de priver nos enfants d’une telle chance.
En revanche, je comprends parfaitement que nous refusions de laisser l’héritage culturel maohi se perdre ou s’effacer au profit de la culture française ou chinoise. A cause de leur total isolement, nos ancêtres ont développé une culture puissamment originale. Nous devons la préserver. Notre langue doit rester bien vivante dans la vie quotidienne comme dans la vie publique. Je condamne l’attitude provocatrice et raciste de Jacqui Drollet à l’Assemblée. Mais je soutiens et je pratique moi-même depuis toujours l’usage du reo Tahiti dans toutes nos institutions. C’est mon gouvernement qui a obtenu en 1995 la création du CAPES de reo maohi. Nous avons une échelle des valeurs familiales et morales qui n’est pas identique à celle de la métropole. Nous avons un art de vivre ensemble qui n’est comparable à aucun autre pays et qui est une de nos plus précieuses richesses.
Mais il existe une solution pour concilier le respect de notre identité et notre appartenance à la République française, c’est l’Autonomie. La construction d’une véritable autonomie pour la Polynésie française, couronnée par le statut d’avril 2004, a été le premier axe de mon combat politique.
Le deuxième axe, c’est le développement économique. Je n’ai jamais été communiste, même à l’époque où on ne savait pas encore que tous les régimes communistes allaient échouer. La lutte des classes qui oppose les citoyens d’un même pays pour le partage des richesses m’a toujours paru stérile et dangereuse. J’ai toujours pensé que la seule bonne solution était de créer davantage de richesses pour que tout le monde puisse en bénéficier.
Il n’y a pas de progrès social sans une économie prospère. Pour créer des emplois, pour construire des écoles, des hôpitaux, des routes, des aéroports, pour couvrir les dépenses médicales et la retraite des vieux, il n’y a qu’une seule politique efficace, c’est celle qui permet le développement économique. Ce sont les entreprises qui jouent le rôle essentiel dans la création des emplois et des richesses. Mais le rôle des responsables politiques est décisif. Il leur appartient, par la fiscalité, la réglementation, la bonne gestion des investissements publics, d’établir les conditions favorables au succès des acteurs économiques. Je pense que nous avons réussi à créer ces conditions favorables, de 1991 en 2004, lorsque notre PIB, c'est-à-dire la richesse du pays, augmentait d’environ 5% par an. C’est un résultat dont je suis très fier et je souhaite de tout cœur que la Polynésie retrouve, le plus vite possible, un tel rythme de progrès.
Le troisième axe, c’est évidemment la solidarité. La création des richesses est l’outil nécessaire, ce n’est pas le but ultime. La justice et la solidarité sociale sont les véritables objectifs d’une politique de développement économique. La responsabilité des hommes politiques est de prélever sur la richesse collective les moyens d’assurer à tous une protection sociale. C’est ce que nous avons fait dès 1994, avant même la métropole. La difficulté est évidemment de ponctionner suffisamment pour une politique sociale efficace sans décourager les acteurs économiques par des prélèvements excessifs. Je crois sincèrement que les gouvernements que j’ai eu l’honneur de diriger jusqu’en 2004 ont su respecter cet équilibre.
Ces trois axes majeurs sont toujours présents dans mon esprit et ils inspirent mon comportement et mes décisions quotidiennes.
Si j’ai adhéré à la politique du général de gaulle et à celle de ses successeurs, c’est parce que c’est bien le gaullisme qui incarne le mieux, à l’échelon national, mes conceptions politiques. J’ai adhéré au RPR créé par Jacques Chirac en 1976 et ensuite à l’UMP parce que ces formations politiques avaient des objectifs conformes à ma vision politique. Je soutiens aujourd’hui la candidature de Nicolas Sarkozy parce qu’il est, parmi tous les candidats à la Présidence de la République, le seul qui partage entièrement notre conception de l’avenir de la Polynésie française.
Contrairement à Ségolène Royal qui a passé des accords avec le Tavini sur l’indépendance, sans consulter ni les Français ni les Polynésiens, Nicolas Sarkozy est un partisan convaincu du maintien de la Polynésie française autonome au sein de la République. Il est également le plus qualifié pour assurer le développement économique de la France, sa sécurité intérieure et extérieure.
Je n’ai jamais dissimulé mon amitié presque fraternelle pour Jacques Chirac. Mais si j’ai toujours fait campagne pour lui, c’est avant tout parce que je considérais qu’il était le meilleur candidat pour la France et pour la Polynésie française. Le meilleur candidat est aujourd’hui Nicolas Sarkozy et je souhaite que les Polynésiens votent pour lui. Ce n’est pas une affaire de personnes, c’est l’intérêt de la Polynésie et de la France.
Pour les élections législatives, le Tahoeraa Huiraatira présente deux candidats, Michel Buillard et Bruno Sandras, qui ont l’investiture de l’UMP et qui siègeront à l’Assemblée Nationale sur les bancs de l’UMP pour défendre la politique que nous jugeons la meilleure pour la France et pour la Polynésie.
Dans la vie politique locale, notre règle de conduite est la même. Nous prenons les décisions qui nous paraissent aller dans le sens de nos objectifs permanents : la défense de l’Autonomie, le développement économique et la solidarité sociale. Vous entendez beaucoup parler dans les media des disputes au sein de la majorité autonomiste, on vous raconte que le Tahoeraa, et surtout Gaston Flosse, essaient de mettre en difficulté le gouvernement de Gaston Tong Sang. Quelle vision médiocre et caricaturale de la politique ! Gaston Tong Sang est l’un des nôtres, s’il est Président aujourd’hui c’est bien parce que nous avons voté pour lui. Nous le soutenons et nous souhaitons qu’il réussisse. Nous sommes fiers du travail des ministres Tahoeraa et nous sommes solidaires de leurs efforts. Mais nous devons veiller à ce que d’autres composantes de sa majorité ne poussent pas le gouvernement à des compromissions. Je n’ai aucune confiance dans des hommes qui ont trahi leurs électeurs et leur parti en échange de postes ministériels et d’avantages matériels.
Je ne doute pas de l’honnêteté de Gaston Tong Sang. Mais je crains que sa lutte constante pour concilier toutes les composantes de sa majorité et satisfaire ses alliés les plus gourmands ne l’enlise dans l’immobilisme politique. Ce serait une catastrophe et le Tahoeraa doit peser de tout son poids pour que le Président Tong Sang mette en œuvre la politique de développement économique et de progrès social pour laquelle nous l’avons élu. La population a confiance dans ce gouvernement mais elle attend maintenant des mesures concrètes en faveur de l’emploi, du logement et de la baisse du coût de la vie. Vous êtes bien placés pour savoir que les jeunes sont nombreux chaque année à arriver sur le marché du travail. Ce n’est pas avec des incantations sur l’indépendance ou la culture maohi que nous allons créer des emplois. Il faut des mesures concrètes pour redonner confiance aux entreprises et à tous les acteurs économiques. C’est pour rappeler ces priorités que je me suis opposé à l’Assemblée à l’inscription de crédits supplémentaires pour le golf d’Atimaono. Les questions de personne n’ont rien à voir là dedans. Je fais et je dis ce qui va dans le sens de la politique que j’ai toujours défendue et que je continuerai à défendre.
C’est la même chose pour l’élection à la présidence de l’Assemblée le 12 avril. Croyez vous que le vrai débat se situe au niveau des ambitions personnelles d’Edouard Fritch ou de Hiro Tefarere ? Bien sûr que non. Le vrai débat c’est l’équilibre entre les composantes de la majorité au sein de l’Assemblée. Qui est le plus capable de contribuer à la réalisation des objectifs politiques que nous poursuivons depuis toujours ? Est-ce Hiro Tefarere, incendiaire de l’aéroport en 1995, élu sur une liste Tavini en 2004, actuellement secrétaire général du Aia Api ? Ou bien est-ce Edouard Fritch, maire de Pirae, ancien député, ancien Vice –président du Gouvernement et fidèle depuis sa jeunesse au Tahoeraa Huiraatira et à ses objectifs politiques ? La réponse me paraît évidente.
Le Tahoeraa Huiraatira n’a aucune envie de mettre en difficulté la plate-forme autonomiste mais il n’est pas prêt à sacrifier son projet politique aux ambitions d’un homme qui ne représente que lui-même.
Je comprends parfaitement que certains d’entre vous puissent avoir une conception des intérêts du pays complètement différente de la mienne. Mais j’espère que vous saurez dépasser le niveau mesquin dans lequel nous enferment les media. Les vrais problèmes politiques que nous affrontons n’ont pas grand-chose à voir avec les petites phrases, les états d’âmes ou la popularité sondagière des uns ou des autres. Vous êtes l’élite future de notre pays et il est vital que vous puissiez vous former une opinion à partir de ce qui compte vraiment c'est-à-dire les choix politiques fondamentaux. On vous ment et on vous intoxique en vous disant que le débat porte sur les personnes, sur les modes de gouvernance, sur l’âge ou le sexe. Le seul débat qui compte porte sur les programmes politiques et sur les capacités à les réaliser. Certains, comme le Tavini, cachent leurs objectifs politiques au moment des élections. D’autres, comme le Aia Api, le Fetia Api ou No oe te e nunaa, sont capables de se dire autonomistes mais d’élire Oscar Temaru en 2004. Seul le Tahoeraa Huiraatira n’a jamais triché dans ses promesses et ses prises de position.
Certains n’ont jamais gouverné et peuvent aisément promettre n’importe quoi. Pour ceux qui ont gouverné, comme le Tahoeraa et le Tavinii, il est facile de comparer leurs réalisations. Dans ce domaine, j’attends avec confiance le jugement que portera l’Histoire sur ce que chaque responsable politique aura apporté à notre pays.
Je vous remercie de votre attention et je suis prêt à répondre à vos questions.
Monsieur (ou Madame), je vous remercie de considérer mon commentaire, je peux désormais développer ma pensée sans avoir peur de ne pas être lu ou d'être censuré. Je tiens tout d'abord à vous féliciter M. Flosse pour avoir réussi à imposer votre candidat à la présidence de l'assemblée, ce que je viens d'apprendre.
Je crois qu'il faudrait que je me présente brièvement. Je actuellement étudiant à l'étranger et donc, je suis de loin, et impuissant tout ce qui se passe au fenua.
J'étais un fervant partisan du Taoheraa avant les derniers événements car je ne m'y reconnais plus du tout.
Mon commentaire venait d'une réaction à chaud, donc, Monsieur Flosse: comment osez-vous dire que votre parti "n'est pas considéré dans la plate-forme" alors que le président du pays même en fait pleinement partie (à ce que je sache), que 7 ministres sont oranges (faut-il que je les cite?). Comment oser dire que le "protocole n'a aucune valueur" parce que "non signé par Gaston Tong Sang" entre autre, alors que c'était aux chefs de partis de le signer, que vous soutenez pleinement le gouvernement (sans commentaire), dois-je continuer? Oui? Que le vote de votre "grand" conseil allait se faire à bulletin secret, alors que ...
Vous jettez encore plus le discrédit sur votre formation comme sur vous même M. Flosse, vous êtes réellement risible. Comment pouvez-vous vous regardez encore en fasse ? N'avez vous jamais eu aucune parole ?
Comment encore nous, les jeunes pouvant croire en la politique lorsque des hommes comme vous sont nos élus ? Des personnes aussi frivoles qu'hypocrites faisant de la politique dans leur propre intérêt.
Pourquoi vous accrochez ainsi au pouvoir ? Ouvrez les yeux M. Flosse, vous n'avez plus aucun avenir en politique,et comme vos pairs du clan des chiraquiens ayez la grandeur de vous retirez. Laissez les reines du parti afin qu'il puisse être de nouveau crédible. Terminez tranquillement votre mandat de sénateur et prennez une retraite tranquille à Mangareva. Avez vous peur de quelque chose Monsieur de sénateur?
Réponse au post :
Permettez moi d’apporter, ou plutôt de répéter, quelques précisions :
1- Ce fameux protocole qu’on me reproche de ne pas appliquer n’a jamais prévu l’élection à la Présidence de l’Assemblée d’un autre candidat que Philip Schylle.
2- Ce protocole est effectivement sans valeur, surtout sur ce point là puisqu’il n’a jamais été signé par Philip Schylle qui a refusé de faire partie de la majorité. Il est exact que Gaston Tong Sang (dont la signature avait été prévue en tant que candidat à la Présidence de la Polynésie française) ne l’a pas signé non plus. Mais c’est évidemment le refus de Philip Schylle qui rendait sans valeur ce document. Pourquoi faites vous semblant d’ignorer ce point essentiel ?
3- Aucun autre engagement en faveur d’un autre candidat n’a jamais été pris par le Tahoeraa Huiraatira. Vous comprenez bien que si un tel document existait nos partenaires l’auraient largement diffusé dans la presse. Alors de quel droit, me reprochez vous, sans preuve, de manquer à ma parole.
4- Je n’ai parlé de vote à bulletin secret que pour la désignation de notre candidat à la Présidence de l’Assemblée. C’est notre règle au Tahoeraa, nous votons à bulletin secret pour désigner des personnes, surtout lorsqu’il faut choisir parmi plusieurs candidats. Nous votons à main levée pour les décisions qui concernent les positions du parti. Lors du Grand Conseil du 10 avril, j’ai demandé un vote à bulletin secret. Considérant qu’il n’y avait qu’un candidat le Secrétaire Général a demandé aux participants s’ils préféraient voter à main levée. J’ai voté contre cette proposition mais j’étais en minorité.
Vous souhaitez que je n’exerce plus de responsabilités politiques. C’est absolument votre droit de ne pas voter pour moi et si la majorité des Polynésiens partage votre point de vue je n’exercerai plus de mandat politique. Mais c’est aux militants du Tahoeraa de choisir leurs candidats à chaque élection.
Rédigé par : Vetea A | 13 avril 2007 à 05:07
Rien à voir avec l'article, mais juste envie de dire qu'il faut peut-être arrêter de prendre les gens pour des cons. D'après ce qu'on peut lire sur tahitipresse, entre autres: http://www.tahitipresse.pf/index.cfm?snav=see&presse=19617
et encore dans un article d'aujourd'hui: http://www.tahitipresse.pf/index.cfm?snav=see&presse=19653
Réponse au post :
J’aimerais vous répondre avec précision, mais votre déclaration est aussi imprécise qu’énergique. La lecture des articles que vous citez ne m’a pas éclairé davantage. Pourriez vous me dire exactement ce que vous critiquez dans mes récentes prises de position ?
Rédigé par : Vetea | 11 avril 2007 à 05:32
Où trouve t'on votre travail sur Internet ?
Réponse au post :
J’aimerais vous répondre avec précision, mais votre déclaration est aussi imprécise qu’énergique. La lecture des articles que vous citez ne m’a pas éclairé davantage. Pourriez vous me dire exactement ce que vous critiquez dans mes récentes prises de position ?
Rédigé par : tati | 08 avril 2007 à 02:48