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12 novembre 2007

Commentaires

aute

J’ai bien l’impression que cette histoire de projet de loi va mal tourné. Qui aurez un jour pensé à ce scénario, les indépendantistes se battant corps et âme pour protéger l’autonomie si chers au Tahoeraa. Les polynésiens se sentent menacé alors il se regroupe, c’est beau, mais on va vers quoi ?


Réponse au post:

Ce sont les électeurs qui décideront où nous allons. Mais je n’ai pas le sentiment que le danger nous pousse vraiment à nous regrouper. Sauf erreur, il y aura 4 listes autonomistes qui seront en concurrence aux prochaines élections.

Tini

Maururu peretini
Président, merci de nous avoir représenté avec dignité ; vous avez parlé au nom de votre peuple, en notre nom devant tous vos collègues du Sénat. Qu’est se qu’ils en savent eux de se qui se passe chez nous. De quels droits parlent-ils en notre nom. Parlons en de l’ouverture, excusez moi mais ou est elle passée ? Le tahoeraa avait pris la peine de travailler sur des propositions d’amendements concernant les articles ou il y avait désaccord, ont-ils pris la peine de les lire ? Le débat sur l’emploi de la langue polynésienne à l’assemblée de Polynésie, il est impossible que les représentants utilisent leurs langues respectives. Rappelez-vous le fiasco, lorques Jaqcuie Drollet avait parlé à Armelle Merceron en tahitien qui ne comprenait pas et que Réné Kohumoetini lui a répondu en Marquisiens.
Il est vrai que la Constitution dit que le français est la langue de la République. Pour pallier au fait qu’un recours soit déposer à l’annulation d’une loi si un représentant n’a pas compris les discutions en tahitien et bien qu’il apprenne notre langue c’est un minimum.


Réponse au post :

Merci pour votre appréciation de mes interventions au Sénat. C’est vrai qu’il est assez difficile depuis quelques mois de se faire entendre et comprendre à Paris. Quant à la langue tahitienne, nous l’avons toujours employée et nous continuerons à l’employer à ‘Assemblée comme partout ailleurs.

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