Le président du Tahoeraa Huiraatira rencontre la fédération chinoise

Le sénateur Gaston Flosse, a participé le lundi 22 octobre 2007 de 18H à 20 H30 a une réunion avec la fédération spécifique de la communauté chinoise dans les locaux de la permanence du mouvement. Il était présent en compagnie du président délégué Edouard Fritch, la vice-présidente Armelle Merceron, et de Teva Rofritch.
Cette reprise de contact, en plein cœur des questions d’actualités politiques s’est déroulée dans une très bonne ambiance.
Désormais Pierre Lechaix est le président  provisoire de la fédération et proposera dans les jours à venir, un nouveau bureau aux instances du parti.  Les membres présents ont eu l’occasion d’avoir des informations sur les derniers évènements. Ainsi Armelle Merceron a rappelé  que les valeurs du Tahoeraa Huiraatira reposaient sur la volonté de construire une stabilité politique avec l'aide de la France et dans l'autonomie.
Le président délégué Edouard Fritch  à son tour a pris la parole, pour expliquer que le seul qui ait cassé la majorité autonomiste, était Gaston Tong Sang en  obligeant quatre membres du Tahoeraa à voter contre Edouard Fritch au premier tour de l’élection du président de l’Assemblée. Ainsi, il a cassé la majorité en refusant de donner au Tahoeraa  Huiraatira la place qu’il réclamait au sein du gouvernement et en mettant  le mouvement de côté.
La stratégie de Gaston Tong Sang, tout comme celle de ses alliés, ne vise qu’à satisfaire des intérêts personnels et n’a jamais pris en compte l’intérêt des Polynésiens, majoritairement attachés à l’autonomie.
Au cours de son intervention, le président du Tahoeraa Huiraatira, a tenu à expliquer  que le rapprochement avec le Tavini Huiraatira était une tentative d’effacer les divergences pour le bien de la Polynésie et que sa plus grande préoccupation était la stabilité politique. Ainsi après trente années de combat, il est temps pour les deux partis de travailler ensemble pour l'avenir du pays.

Séance à l'Assemblée de Polynésie française

Les représentants à l’Assemblée de la Polynésie française se sont réunis le vendredi 19 octobre 2007, sous la présidence d'Edouard Fritch. Ils ont examiné  le rapport relatif au budget du compte spécial dénommé " Fonds pour l'insertion professionnelle des travailleurs handicapés " (FIPTH) pour l'exercice 2007, le rapport relatif à un projet de délibération portant approbation du compte financier de l’exercice 2006 et affection du résultat en report à nouveau de l’Agence tahitienne de presse ainsi que le rapport relatif à un projet de délibération portant approbation du compte administratif du Conseil économique, social et culturel de la Polynésie  française pour l’exercice 2006.
Les représentants ont adopté la veille, le jeudi 18 octobre  par 44 voix pour et cinq abstentions, le troisième collectif budgétaire du Pays pour l'exercice 2007. D'un montant avoisinant les 7,9 milliards Fcfp (environ 66 millions d'euros), celui-ci est avant tout un document "technique" que le calendrier et le nouveau plan comptable polynésien imposaient d'adopter.

Les élus du Tahoeraa Huiraatira rencontrent le Sénateur Christian Cointat

Le Sénateur Gaston Flosse, le député Bruno Sandras, le président de l’Assemblée, Edouard Fricth et les élus du groupe Tahoeraa Huiraatira ont reçu M. Christian Cointat rapporteur des projets de lois modifiant le statut de la Polynésie française devant le Sénat, le mercredi 17 octobre 2007 à la salle des commissions de l’Assemblée de Polynésie française.
Le Tahoeraa Huiraatira par la voix de son président a rappelé qu’à une très forte majorité de 44 voix sur 57, l’Assemblée de la Polynésie française a émis un avis défavorable sur le projet de loi organique tendant à renforcer la stabilité des institutions et la transparence de la vie politique qui vient modifier notre statut. Néanmoins les articles visant à améliorer l’efficacité et la transparence dans le fonctionnement des institutions ont reçu une large approbation. Le rejet du projet de loi se fonde sur trois constats : le manque de transparence de l’Etat, la régression de l’autonomie de la Polynésie française, et l’instabilité politique que le projet de loi organise.
Le Tahoeraa Huiraatira a proposé des amendements pour tous les articles qui portent atteinte à l’autonomie ou au bon fonctionnement des institutions du Pays. Reste à espérer que la commission des lois les reprendra à son compte pour préserver l’autonomie et assurer la stabilité des institutions.

Homologation de sections à Tahaa

                                                                           

La délégation du Tahoeraa Huiraatira composée du Sénateur Gaston Flosse, d’Edouard Fritch, d’Armelle Merceron, de Lana Tetuanui de Thomas Moutame et de la maire délégué de Vaitoare  était  le mardi 16 octobre 2007 à Tahaa dans la commune de Tiva pour l’homologation de 22 sections. Comme ils pouvaient s’y attendre, les responsables du parti ont été chaleureusement accueillis par les militants enthousiastes  qui sont venus nombreux écouter les explications des ténors  du parti.
Lors de cette rencontre, il était question dans un premier de temps d’expliquer les raisons qui ont poussé le mouvement à sortir de la majorité, ainsi que le choix du bureau exécutif de laisser la liberté de vote aux représentants du Tahoeraa Huiraatira concernant la motion de censure.
Armelle Merceron a pris la parole pour  décrire à l'assistance le bilan des derniers mois mais plus particulièrement son expérience au gouvernement, qui s'est terminée par la démission des ministres du Tahoeraa suite au manque de considération de Gaston Tong Sang à leur égard. Lana Tetuanui s’est exprimée, elle aussi longuement, en insistant sur le fait que Gaston Tong Song n’était pas une victime  mais un véritable manipulateur. Après Lana Tetuanui, ce fut au tour d’Edouard Fritch  et du président du mouvement de prendre la parole. 
Le Sénateur Gaston Flosse dans son discours a su capter l’attention de son auditoire en rappelant que sa plus grande volonté était de construire une stabilité politique reposant sur de nouvelles bases ayant pour objectif de conduire, avec l'aide de la France et dans l'autonomie, une Polynésie française sur la voie du développement économique, social et culturel. Après les interventions, le président du Tahoeraa Huiraatira a homologué la fédération de Tahaa et vingt deux sections. Désormais Ludovic Timiona est le président de la fédération et c’est  avec l’aide de ses collaborateurs qu’il bat le rappel dans les quartiers pour sensibiliser la population  à la politique menée par le Tahoeraa Huiraatira
Entre les applaudissements de nombreuses questions, visant à éclaircir le débat, ont été posées aux intervenants qui ont répondu le plus clairement possible.

Le Sénateur Gaston Flosse en présence du président de la fédération de Tahaa Ludovic Timiona

Le Sénateur Gaston Flosse et les cadres du mouvement avec les militants de Tahaa

Communiqué de presse

Priorité à la relance et à la création d’emplois

Le Tahoeraa Huiraatira juge inopportune la volonté affichée par le ministre du Travail de procéder à une nouvelle augmentation du SMIG.La priorité, selon le Tahoeraa Huiraatira, doit aller à la relance économique, au soutien des entreprises, et par voie de conséquence à la création d’emploi.
Les perspectives en matière de création d’emplois, et notamment pour insérer les jeunes de plus en plus nombreux sur le marché du travail,  dénotent un pessimisme certain. Le gouvernement doit donc s’attacher en priorité à ce chantier.Le Tahoeraa Huiraatira estime par ailleurs que toute augmentation des salaires doit avant tout relever de la concertation des partenaires sociaux. L’expérience de Te Autaeaeraa a montré ce que l’intrusion dogmatique du politique dans le dialogue social pouvait avoir de désastreux.

Gaston Flosse invité de Radio Maohi

Le Sénateur Gaston Flosse était  l’invité de la rédaction de RADIO MAOHI, le samedi 6 octobre 2007, pour commenter l'actualité politique.

Ecoutez l'interview en français Ecoutez l'interview en tahitien

Communiqué de presse

Qui défend le texte d’Estrosi ?

Le Tahoeraa Huiraatira a constaté le total manque d’implication de M. Gaston Tong Sang, président de O Porinetia to tatou ai’a, dans la discussion sur le projet de loi organique soumis à l’Assemblée de la Polynésie française.
M. Tong Sang, à aucun moment dans la discussion générale, n’a jugé bon d’intervenir pour défendre le projet de loi présenté par le Secrétaire d’Etat à l’outre-mer. Etrange attitude pour ce candidat déclaré pour assurer les fonctions de président de la Polynésie française au terme des prochaines élections territoriales.
Son silence est d’autant plus étonnant que M. Tong Sang s’affirme comme ayant le soutien du gouvernement central dans sa démarche politique.
M. Christian Estrosi saura également apprécier l’attitude des présidents du Ai’A Api et de Te Niu Hau Manahune, qui n’ont même pas daigné mettre les pieds dans l’hémicycle pour participer aux débats. L’absence de participation aux débats des trois responsables de ces partis prouve le peu d’intérêt qu’ils portent à la défense d’un texte qui, globalement, fait l’objet d’un avis défavorable des représentants à l’Assemblée de la Polynésie française.

Ce silence aura au moins permis à Jean-Christophe Bouissou de monopoliser la parole, et de jouer les « grands chefs », à la mesure de son ambition à vouloir avaler tous les partenaires du groupe Polynésiens ensemble, comme il avait voulu avaler, sans succès, le Ai’a Api puis le Tahoeraa Huiraatira.

Le Sénateur Gaston Flosse à l'Assemblée de Polynésie française

Les représentants à l’Assemblée de la Polynésie française se sont réunis le jeudi 4 octobre 2007, sous la présidence d'Edouard Fritch  afin d’examiner pour avis le projet de Loi organique et un projet de loi simple tendant à renforcer la stabilité des institutions et la transparence de la vie politique en Polynésie française présenté par le secrétaire d’Etat Christian Estrosi.
Le Sénateur Gaston Flosse dans son allocution a déclaré que le projet de loi organique sur lequel les représentants été consultés contenait quelques articles intéressants qui apportent des précisions utiles sur le fonctionnement des institutions.  Il a estimé qu’il contenait également des mesures judicieuses pour renforcer la transparence de la vie publique et que le Tahoeraa Huiraatira soutiendrait sans réserve toutes les dispositions qui peuvent améliorer la transparence et renforcer les contrôles nécessaires. C’est pourquoi, le mouvement émettra un avis favorable sur ces articles, mais n’approuvera pas l'ensemble du projet de loi.  «  Nous préciserons pour chaque article nos objections motivées et nous proposerons des amendements. » a rajouté le Sénateur Gaston Flosse avant d’entamer une étude détaillée.

Lire l’intégralité de l’allocution du Sénateur Gaston Flosse

Réunion d'information à Mahina

Une réunion  du Tahoera’a huiraatira s’est déroulée le mercredi 3 octobre 2007 à Mahina. Cette rencontre à cœur ouvert avec la population s’inscrit dans le cadre de la tournée d’information, dans chaque commune, que le parti a entamé depuis plusieurs semaines. Comme il est de tradition, c’est le Sénateur Gaston Flosse, qui a pris la tête de la délégation composée de plusieurs cadres du mouvement.
Sur place, les personnalités ont été accueillies chaleureusement par le président de la fédération, Nicolas Sanquer et Lucie Lucas. Dans son discours le Sénateur Gaston Flosse, a d’abord remerciéles personnes venues nombreuses, ensuite, il a été plus au fond des choses, apparaissant plus combatif que jamais.
Lors de cette rencontre, il était question dans un premier de temps d’expliquer les raisons qui ont poussé le mouvement à sortir de la majorité, ainsi que le choix du bureau exécutif de laisser la liberté de vote aux représentants du Tahoeraa Huiraatira concernant la motion de censure. Il a été rappelé que le dialogue amorcé avec le Tavini Huiraaatira représente un acte de progrès et qu’il pourrait aboutir à une vision commune des intérêts de la Polynésie française sans que ni l’un ni l’autre ne renie ses convictions. Pour le chef du parti, il est clair que les acteurs économiques ont besoin d’une période suffisamment longue de stabilité institutionnelle pour retrouver la confiance, relancer la croissance et créer des emplois.
Entre les applaudissements de nombreuses questions, visant à éclaircir le débat, ont été posées aux intervenants qui ont répondu le plus clairement possible.

Le Sénateur Gaston Flosse durant son intervention à la réunion d'information à Mahina

De nombreuses questions ont été posées par les personnes présentes, qui étaient satisfaites d’avoir des informations complètes et précises de la part de leurs responsables.

Arue accueille la délégation du Tahoeraa Huiraatira

La délégation du Tahoeraa Huiraatira composée du Sénateur Gaston Flosse, d’Edouard Fritch, d’Armelle Merceron, de Bruno Sandras, de Lana Tetuanui et de Teva Rohfritsch s’est déplacée le mardi 02 octobre 2007 à Arue pour une réunion d’information. Les représentants du parti ont été accueillis par la présidente de la fédération Teura Iriti, qui avec l’aide de ses collaborateurs ne ménagent pas leur peine pour battre le rappel dans les quartiers et sensibiliser la population sur la politique menée par le Tahoeraa Huiraatira.
Après le message de bienvenue de Teura Iriti, c’est Armelle Merceron qui est montée à la tribune pour  décrire à l'assistance le bilan des derniers mois mais plus particulièrement son expérience au gouvernement, qui s'est terminée par la démission des ministres du Tahoeraa suite au manque de considération de Gaston Tong Sang à leur égard. Lana Tetuanui s’est exprimée, elle aussi longuement, en insistant sur le fait que Gaston Tong Song n’était pas une victime  mais un véritable comploteur.
Après Lana Tetuanui , ce fut au tour d’ Edouard Fritch  et du président du mouvement de prendre la parole. Le Sénateur Gaston Flosse a expliqué que le rapprochement avec le Tavini Huiraatira n’était pas un accord acté  mais une tentative d’effacer les divergences pour le bien du pays. Le leader du parti a rappelé que sa volonté  était de construire une stabilité politique et de conduire la Polynésie française sur la voie du développement économique, social et culturel.
De nombreuses questions ont été posées par les personnes présentes, qui étaient satisfaites d’avoir des informations complètes et précises de la part de leurs responsables.

Le Président du mouvement avec Teura Iriti présidente de la fédération de Arue

Le Sénateur Gaston Flosse et les militants de Arue